... mais ce n'est qu'avec cette approche positive que ce sera vraiment bon. Par Brenda Kaneshiro
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Récemment, j'ai laissé mes enfants dans la voiture pour aller vite chercher quelque chose à la quincaillerie. Lorsque je suis sorti du magasin, des sons discordants provenant de la direction du véhicule ont atteint mes oreilles. Je regarde autour. D'où viennent-ils? En m'approchant de la porte ouverte, c'était clair : mes enfants en étaient la cause - tous les quatre ! Mon premier réflexe : je voulais leur faire un sermon sur la bonne conduite, en découvrir l'auteur et le punir.
Mais Dieu m'a rappelé ce que nous venons d'apprendre sur la bénédiction des mots. Ayant eu peu de succès dans des situations similaires dans le passé - il y avait une dispute pour savoir qui avait commencé la dispute - un mot de bénédiction semblait être de mise. J'ai passé la tête dans la porte latérale et j'ai dit : « Que Dieu vous bénisse tous avec un esprit paisible et fasse de vous des artisans de paix ! » Mes enfants m'ont regardé, se sont assis proprement dans leurs sièges et ont bouclé leur ceinture. Je ne sais pas ce qu'ils pensaient. Mais le trajet du retour fut paisible, la soirée bénie.
Dès que nous prononçons une bénédiction, Dieu donnera le pouvoir de transformation. C'est bien mieux que de bricoler les symptômes avec n'importe quelle ordonnance ! En prenant le volant, j'ai réalisé que j'étais très calme à l'intérieur. Même les enfants étaient calmes. De cette façon, nous avons été épargnés des dommages émotionnels que j'aurais causés avec mon ancien schéma de réaction.
Après de telles bénédictions, j'ai vu des faiblesses chez mes enfants devenir des forces de caractère. Inversement, des mots négatifs répétés évoquent des pensées négatives chez les enfants, ce qui conduit à un comportement négatif. Si je continue à dire à ma fille qu'elle est paresseuse, elle finira par y croire et développera des habitudes paresseuses. Mais quand je demande à Dieu de lui donner le désir et la capacité de réussir et de lui rappeler que Dieu peut lui donner cela aussi, elle reçoit la grâce de développer ce trait.
Extrait du Toujours une famille, printemps 2010, page 12
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